Metaverse College s’entoure d’un Comité d’experts

Le premier établissement d’enseignement supérieur dédié aux métiers du métavers, accroit son expertise et annonce la création d’un comité d’experts composé de professionnels divers de l’Industrie. L’objectif ? Confronter leurs connaissances du marché pour permettre aux responsables pédagogiques de faire évoluer les programmes du Metaverse College et répondre ainsi aux nouveaux enjeux des entreprises. Les 16 membres se sont réunis pour la première fois ce mercredi 14 septembre.

Pour faire face aux nouveaux enjeux du marché du métavers, Metaverse College annonce la création d’un comité d’experts composé de 16 professionnels, décideurs et techniques, issus de différents domaines, et représentants de plusieurs structures comme LEDGER, IPOCAMP, DECATHLON, ou encore l’association France META.

Accompagnés de Ridouan Abagri, directeur et fondateur du Metaverse College, et d’Olivier de Lagarde, Président du College de Paris, les membres se réuniront 1 fois par trimestre pour confronter leurs connaissances, croiser leurs visions du marché de l’éducation et du métavers, et construire ensemble une approche pluridisciplinaire dédiée à l’évolution du secteur. 

Les parties prenantes du Metaverse College bénéficieront ainsi d’un réel appui permettant de garantir la qualité pédagogique des formations proposées par l’établissement et d’identifier des opportunités d’innovation qui répondront aux nouveaux enjeux et besoins du marché des cryptomonnaies, des NFT, de la blockchain, de la réalité virtuelle, de l’éducation ou du sport. 

Les membres interviendront également auprès des étudiants lors de masterclass, de modules de cours ou de workshops afin d’échanger ensemble sur les problématiques que les sociétés rencontrent et les opportunités créées par le métavers.

L’ESC Clermont Business School présente les grands projets de son plan stratégique “REVEAL 2022-2027”

En cette rentrée 2022, l’ESC Clermont Business School dévoile « REVEAL 2022-2027 » : un ambitieux plan stratégique sur 5 ans, fondé sur des valeurs d’engagement, de partage, d’attention et d’agilité. Ouverture de 4 campus en France et à l’international, développement de formations axées RSE, renforcement de la politique d’ouverture sociale, obtention de nouvelles accréditations… autant de projets qui seront portés par une équipe renforcée et réorganisée.

REVEAL 2022-2027 : le projet ambitieux d’une Grande Ecole singulière

A travers le plan stratégique « REVEAL 2022-2027 », l’ESC Clermont Business School accélère son développement en capitalisant sur son ADN.

Elle ambitionne ainsi d’« être l’Ecole qui révèle les talents et les passions d’une nouvelle génération d’acteurs du changement, plaçant l’humain et la planète au cœur de ses choix ».

Une nouvelle direction qui marque le changement dans la continuité

Annoncé à la rentrée 2022, Richard Soparnot, en poste à l’ESC Clermont BS depuis 2017 comme Directeur académique puis Directeur général adjoint, a été nommé Directeur Général de l’ESC Clermont BS.

Docteur et HDR en sciences de gestion, Richard Soparnot débute sa carrière comme professeur de stratégie et de management à l’ESCEM, puis Directeur de la recherche, avant de prendre la co-Direction de l’Ecole. Il est nommé Directeur de campus de l’ESC Amiens de 2013 à 2015. Richard Soparnot intègre l’ESSCA en 2015 en tant que Directeur de la recherche et Directeur associé de la faculté.
Il rejoint l’ESC Clermont Business School en 2017 comme Directeur académique puis Directeur général adjoint en 2020 avant d’être nommé Directeur Général en septembre 2022.

« En prenant la Direction de l’ESC Clermont Business School, j’entends poursuivre sa dynamique : une école à dimension humaine singulière dans le paysage des Grandes Écoles de Management, une école de territoire avec de fortes ambitions internationales et de nouveaux challenges nationaux, une école qui veut contribuer activement à la transformation du monde et des organisations… forte de ses actifs, de ses valeurs et bien sûr de ses équipes. Notre plan « Reveal 2022-2027 » s’inscrit dans la continuité stratégique entamée depuis 5 ans et porte de nouvelles ambitions face aux enjeux environnementaux et sociétaux. C’est un défi passionnant que j’ai hâte de relever. »

Plus d’infos : https://www.esc-clermont.fr

Crédit Photos : © Yann Cabello

La veille pour les enseignants : un enjeu pédagogique et citoyen

La journée mondiale des enseignantes et des enseignants est là pour nous rappeler l’importance du rôle de ces professionnels en termes de veille. Sur ce point, force est de constater qu’en France la technostructure d’Etat est en pointe… même s’il reste encore de nombreux enjeux à relever selon Arnaud Marquant, Directeur des opérations de KB Crawl SAS

La veille, qui s’opère dans le secteur de l’enseignement a connu ces dernières années de profondes mutations. De plus en plus autonomes, les établissements français déploient des stratégies qui sont tout à la fois propres et différenciées, obligeant les acteurs publics à affiner leurs processus de veille. Sur ce point, les ministères concernés – de l’Éducation Nationale à l’Enseignement supérieur et à la recherche, sans oublier la Jeunesse ou encore les Sports – jouent un rôle décisif de vigie, lequel se signale par sa rigueur ainsi que par sa précision.

Une veille qui porte sur de gros volumes de sources

Certains appels d’offres émanant de la technostructure témoignent actuellement des efforts consentis par le monde enseignant. Dans sa quête de veille stratégique, celui-ci est d’abord poussé par l’évolution des contextes. Réforme de la gouvernance des universités (avec renforcement de leur autonomie), politique dite « de site » qui voit les établissements se regrouper, problématique d’attractivité internationale, développement de la recherche en neurosciences en lien avec les mécanismes d’apprentissage… De nombreux champs connaissent des évolutions majeures, sur fond de poids des inégalités sociales sur les parcours scolaires, d’enjeux en termes de citoyenneté, d’engagement et de formation.

Confrontée à de tels changements, voire à de l’incertitude (rappelons-nous des épisodes récents de confinements liés à la Covid), la technostructure opère une veille particulièrement large. Pédagogie, vie étudiante, gestion des personnels, systèmes d’information, éducation populaire, insertion, mouvement associatif, problématique de lecture publique, transformation numérique… Un tel éventail thématique suppose la surveillance d’un large volume de données aux natures variées, laquelle ne peut s’effectuer qu’à partir d’une solution de veille robuste, experte et fiable, en capacité d’embrasser de très nombreuses sources. Cette solution se doit par ailleurs de permettre le partage individualisé de l’information via une application collaborative, afin de favoriser tout à la fois le repérage, l’analyse, le tri et la communication d’une information de qualité.

La veille : de plus en plus enseignée 

Particulièrement aiguisée, la veille qui est ainsi mise en place au sein de la haute fonction publique permet aux acteurs d’ajuster le pilotage stratégique de leurs politiques publiques. Cette veille profite à l’ensemble de la chaîne de décision, et permet aux enseignantes comme aux enseignants d’être mieux informés sur l’évolution des champs sur lesquels ils interviennent. Jour après jour, qu’ils soient professeur des écoles ou enseignant-chercheur à l’université, ces professionnels de l’enseignement peuvent constater concrètement les bienfaits d’une veille rigoureuse, bienfaits qu’ils peuvent relayer auprès de leurs élèves, voire qu’ils peuvent enseigner. Car la veille figure de plus en plus parmi les modules développés au sein de nos écoles et établissements.

Sans doute. Dans un monde aussi incertain que le nôtre, il est plus que nécessaire de développer une veille rigoureuse de qualité

Nous avons récemment témoigné du fait que la veille était très présente dans le monde universitaire. À l’université de Strasbourg, elle fait ainsi partie de la grille d’enseignements prodigués au sein du Master 2 en Intelligence Économique et Gestion du Développement International. Pour sa part, au sein de l’université de Lille, le Master 2 SID (Sciences de l’Information et du Document) forme directement des veilleurs. 

Faut-il aller encore un peu plus loin ? Sans doute. Dans un monde aussi incertain que le nôtre, il est plus que nécessaire de développer une veille rigoureuse de qualité, et de l’enseigner aux écoliers, aux collégiens, aux lycéens ainsi qu’aux étudiants. Il le faut d’autant plus que les réseaux sociaux sont de plus en plus la chambre d’écho de fausses informations, lesquelles peuvent aller jusqu’à mettre à mal certains équilibres démocratiques. Savoir chercher, apprendre à identifier une source fiable, croiser les informations, les vérifier sont autant de réflexes à intégrer dans le cadre d’un parcours d’enseignement. Des réflexes citoyens qui s’accompagnent nécessairement d’une approche méthodologique. 

Sur ce point, l’on comprend combien les enseignantes et les enseignants ont une mission décisive à poursuivre…

Nomad Education devient entreprise à mission et s’engage dans le « sport-éducation »

L’Edtech Nomad Education, qui développe une application de révision scolaire, annonce intégrer sa mission sociale au sein de ses statuts et devient ainsi entreprise à mission.

Portée par son engagement pour les jeunes et l’éducation, Nomad Education confirme donc sa volonté d’avoir un impact sociétal positif. En effet, par sa gratuité et la richesse de ses contenus, Nomad Education vise à démocratiser l’accès à l’éducation à tous les jeunes francophones, quel que soit leur niveau scolaire ou social.

Récemment, l’Edtech s’est engagée dans la lutte contre la sédentarité des jeunes, en nouant un partenariat avec l’application Fiters, permettant ainsi d’offrir des cours de sport gratuits à ses utilisateurs. De nombreux projets autour du sport et des prochains grands événements mondiaux (JO 2024, Coupe du Monde de Rugby) sont en cours.

Sa mission pour l’éducation s’est également élargie à l’espace francophone mondial, l’application se développant massivement sur le continent africain.

Nomad Education est une entreprise à impact qui a pour mission d’accompagner la réussite des jeunes francophones, quel que soit leur niveau scolaire ou social. A travers son application mobile, elle met la technologie au service de la pédagogie pour proposer des contenus rédigés par 350 enseignants de l’Education Nationale couvrant 450 diplômes. Disponible gratuitement et en mode hors connexion, elle permet aux collégiens, lycéens et étudiants de réviser, s’auto-évaluer, se remettre à niveau et progresser à leur rythme et en toute autonomie. Disponible partout dans le monde, l’application alimentée par le machine learning compte aujourd’hui 1,3 million d’utilisateurs avec pour objectif d’atteindre les 6 millions d’ici 2023.

plus d’infos : https://nomadeducation.fr

Le Syntec demande une meilleure adaptation du système éducatif aux besoins des entreprises

Alors que la question des compétences et du recrutement est devenue primordiale pour les métiers de ses secteurs d’activité, la Fédération Syntec et les syndicats qui la composent révèlent les résultats de deux études portant sur l’éducation et la formation, ainsi qu’une série de propositions et d’engagements pour optimiser l’adéquation entre besoins de compétences et offres de formation.

« L’industrie de la connaissance que nous représentons endosse une responsabilité particulière et prépondérante dans l’enjeu des compétences. Une responsabilité particulière, car il sera difficile de relever le défi des grandes transitions en cours sans compétences quantitativemenet qualitativement suffisantes dans nos secteurs d’avenir. Une responsabilité particulière, car nos secteurs proposent des débouchés professionnelsà tous et à tous les âges, en préservant ainsi notre modèle social par ses seules ressources, en créant de l’activité et de la richesse dans notrepays et non par son endettement, contribuant ainsi à assurer plus encore demain notre « autonomie«  économique et technologique. » abondent Laurent Giovachini, Président de la Fédération Syntec, Godefroy de Bentzmann et Pierre-Marie Lehucher, Co-présidents de Numeum, Pierre Courbebaisse, Président des Acteurs de la Compétence, Matthieu Courtecuisse, Président de Syntec Conseil, Renaud Hamaide, Co-Président d’Unimev, et Pierre Verzat, Président de Syntec-Ingénierie.

Un état des lieux alarmant

Posant la question de la formation et des compétences, Syntec a initié deux grandes études sur le sujet. La première, menée avec IPSOS en juillet 2022, porte sur les attentes des Français en matière de formation initiale et continue. Cette étude révèle ainsi des constats alarmants et qui invitent clairement à réformer notre système éducatif pour aller dans le sens d’une meilleure professionnalisation des élèves.

Ainsi, l’étude révèle que seules 42% des personnes interrogées ont le sentiment que le système éducatif fonctionne aujourd’hui bien(32% parmi les enseignements). De la même manière, les dispositifs d’orientation sont jugés sévèrement puisque seul un tiers des personnes interrogées considère qu’ils sont bien adaptés pour offrir aux élèves les meilleurs conseils. L’intégration sur le marché du travail est perçue comme la priorité du système éducatif par 55% des personnes interrogées ; ainsi, 50% d’entre elles placent la préparation au monde professionnel comme le premier domaine d’amélioration prioritaire pour l’éducation.

La seconde étude, menée avec BVA, porte sur les investissements formation portés les entreprises adhérentes des syndicats membres de Syntec. Celle-ci révèle une branche Syntec particulièrement dynamique et volontariste en matière de formation. En effet, l’étude révèle que 36% des salariés ont reçu une formation en 2021 et que les entreprises adhérentes ont tendance à investir 4 à 5 fois plus pour la formation professionnelle que la contribution légale. S’intéressant aussi aux besoins et attentes des entreprises, l’étude dévoile que 33% des entreprises de la branche attendent davantage de formations techniques, 29% en développement personnel, et 25% en management.

« Les études que nous avons menées montrent que notre système éducatif et de formation est à la croisée des chemins. Aujourd’hui inadapté, il doit entamer lui aussi, après notre économie, sa transformation pour proposer des formations plus professionnalisantes et plus en phase avec la réalité du tissu économique français », commente Laurent Giovachini, président de la Fédération Syntec.

Accélérer, miser sur la transparence et la professionnalisation

Fort de ces enseignements, Syntec a formulé 15 grandes propositions visant à transformer l’écosystème de la compétence. Ces 15 propositions portent sur le système éducatif, la formation continue, la professionnalisation et le financement des dispositifs.

Alors que l’étude IPSOS révèle une attention particulière portée tant par l’ensemble de la population que par le corps estudiantin aux questionsd’orientation, la première proposition portée par Syntec concerne le besoin de transparence et d’information sur les offres de formation. Il propose ainsi de dire la vérité aux jeunes et aux familles sur les taux d’insertion dans l’emploi, de réussite aux diplômes et de poursuite d’études de toutes les formations, en facilitant la compréhension et l’accès à ces taux par un visuel attractif et lisible type Nutriscore. Il invite également à améliorer l’enseignement mathématique et à accélérer l’intégration des soft skills dans les parcours de formation.

Sur la formation continue, les 6 organisations proposent de repenser les systèmes d’intégration et de professionnalisation, par exemple en mettant en place des « parcours internes de réussite » au sein des entreprises, en élargissant l’admissibilité à l’alternance, ou encore en créant une période de transmission des compétences pour les salariés qui s’engagent à partager leurs savoirs et expériences auprès des jeunes. La question de la reconversion est aussi adressée et promue au travers d’une véritable libération des dispositifs qui doivent être simplifiés en s’adressant au plus grand nombre. Enfin, pour le financement de la formation elles avancent l’idée, entre autres, d’expérimenter la comptabilité des dépenses de formation comme un investissement et non comme une charge.

Conscients de leurs responsabilités, la Fédération et les 5 syndicats s’engagent en retour à contribuer aux efforts portés sur la formation et la professionnalisation. Ils comptent ainsi, d’ici 2025, atteindre 5% d’effectifs du secteur en apprentissage, améliorer la parité au sein de la branche, ou encore former l’ensemble des salariés de la branche à la sobriété énergétique…

« Nos entreprises, issues des secteurs du numérique, de l’ingénierie, du conseil, de l’évènementiel et de la formation professionnelle visent à gagner en compétitivité et en capacité d’innovation, à bâtir une France et une Europe plus fortes et indépendantes et à proposer des environnements de travail plus libres et épanouissants ; en un mot, à contribuer à la relève de tous les grands défis qui nous incombent, qu’ils soient sociaux, stratégiques, économiques… Tel est le sens de ces 15 propositions et de ces 7 engagements », continuent les présidents des organisations membres de Syntec.

Retrouvez l’ensemble de ces données ainsi que les deux études sur le site de la Fédération Syntec.

Ecole Gustave : Étancheur, la formation clef pour l’avenir du BTP

Plus d’un an après sa création, l’École Gustave ajoute une corde à son arc en introduisant une nouvelle formation à son programme, en association avec la CSFE, la Chambre Syndicale Française de l’Étanchéité. L’École Gustave a étroitement collaboré avec la CSFE pour mettre au point cette formation. Les étancheurs qui sont les spécialistes de l’étanchéité des bâtiments, mais aussi de l’isolation tant phonique que thermique, sont essentiels dans le BTP et cruciaux à notre époque. Cette formation est tellement en tension que des candidats ont rencontré leurs employeurs avant même le début de leur formation. La rentrée de cette quatrième promotion de 30 nouveaux étudiants aura lieu le 19 septembre 2022 au CFA de Mantes la Jolie. L’École Gustave, 1ère école gratuite et rémunérée de l’artisanat fondée par Rocket Éducation, forme les talents de demain aux métiers en tension, les recrute pour leur tempérament et en fonction de leur personnalité (soft skills) !

Les apprentis de l’école sont généralement âgés de 20 à 55 ans. Ils suivent une formation intensive de 3 mois afin d’être opérationnels dès l’entrée en alternance au sein d’entreprises partenaires de l’école (Etandex, Les Etancheurs Paris, GEC Ile de France, Etancheco…) pour une période de 12 mois. Des experts et professeurs se rendent au sein de l’établissement afin d’assurer des ateliers de formation. Cette nouvelle formation d’étancheur s’inscrit dans la lignée des formations de plombier-chauffagiste et électricien dispensées par l’École Gustave : elle accueille tous types de profils, qu’ils soient en reconversion professionnelle, sans diplôme ou en sortie de lycée, mais toujours sur les soft skills. Par ailleurs, la poursuite des études est possible dans la filière du génie électrique.

3500 emplois non pourvus en Ile de France

Pour la directrice de l’école, créer cette nouvelle formation vient compléter la formation de plombier-chauffagiste, en plein essor avec la transition énergétique. En outre, un des métiers les plus en tension d’Île-de-France est celui d’électricien avec plus de 3 500 offres d’emplois non pourvues uniquement dans cette région.

Marie Blaise, fondatrice de l’École Gustave « Après avoir permis à des profils en reconversion de rejoindre les formations de plombiers-chauffagistes et d’électriciens, nous nous sommes tournés vers le métier d’étancheur avec l’appui de la CSFE».

Elle ajoute : « J’ai voulu mettre en lumière le métier d’étancheur afin de valoriser une branche souvent méconnue mais indissociable du monde du BTP. L’étancheur est la pièce maîtresse de la mise en œuvre d’une structure et donc indispensable au bon fonctionnement d’un chantier de gros œuvre que d’une petite structure ».

L’École Gustave propose un programme permettant de préparer au QCP d’ « Etancheur ».

A propos de l’école Gustave

L’école Gustave a été co-fondée par Marie Blaise, Jérémy Diavet et Cyril Pierre de Geyer, professeur affilié à HEC Paris et ancien directeur général adjoint d’Epitech. L’école Gustave prépare à des diplômes de niveau 3 enregistré au RNCP par l’arrêté du 30 décembre 2015, certification délivrée par le Ministère du Travail.

Lien du site internet : https://ecole-gustave.com/

La Région Île-de-France lance Qioz Langue des Signes Française

A l’occasion de la journée internationale de la langue des signes (23 septembre 2022) et de la journée mondiale des sourds (24 septembre 2022),QIOZ, plateforme d’apprentissage de langues gratuite à la disposition de tous les Franciliens- poursuit son développement de contenus pédagogiques avec le lancement du module Langue des Signes Française le 22 septembre, une première en France.

Les contenus proposés permettront au public professionnel et plus généralement au grand public francilien entendant de découvrir les bases pour interagir et de découvrir la culture sourde et malentendante.

En clair, le module permettra d’assimiler le vocabulaire propre aux métiers de la restauration, du tourisme et de la santé, par le biais de mises en situation, de tutoriels vidéo et de dictionnaires vidéo d’images, ainsi que la sensibilisation et l’initiation de la culture sourde à travers des situations de la vie courante.

Un apprentissage sur mesure qui permet de coller au plus près de la réalité et de découvrir des fondamentaux de la langue des signes françaises et être initié aux principaux signes afin d’entrer dans un dialogue simple.

Ce module a été développé avec le groupement prestataires Humensis et Entertainement Learning, et l’Académie de la Langue des Signes Française (ALSF), avec la collaboration de l’Institut National des Jeunes Sourds (INJS/Infosens). Cette co-construction était essentielle pour concevoir des contenus inclusifs et ludiques.

En 2019, la Région Île-de-France lançait la plateforme gratuite QIOZ avec quatre langues disponibles (anglais, allemand, espagnol et français comme « langue étrangère ») Aujourd’hui, QIOZ s’est étoffé tant en nombre d’inscrits (plus de 350.000), qu’en développement de nouveaux contenus (6 langues disponibles : le chinois et le portugais).

Qu’est-ce que QIOZ ?

QIOZ, ainsi à la fois site et application gratuite d’apprentissage des langues de la Région, propose des modules dédiés à différents métiers en contact avec les touristes et/ou nécessitant la pratique de langues étrangères, en favorisant également l’employabilité des franciliens.

www.qioz.fr

Les émojis favorisent la créativité, l’expression de soi et l’inclusion

Adobe dévoile les résultats de sa dernière étude mondiale “Adobe Future of Creativity: 2022 U.S. Emoji Trend Report” sur le rôle et l’impact des émojis dans la communication digitale. Selon l’étude, 92 % des utilisateurs français (versus 91 % des utilisateurs américains) estiment que les émojis leur permettent de s’exprimer plus facilement. 67 % des Français (versus 71 % des Américains) affirment que les émojis inclusifs suscitent des discussions positives sur des sujets culturels et sociaux. 77 % des Français (versus 83 % des Américains) pensent que l’on devrait encourager les émojis plus inclusifs ; un résultat appuyé par la sortie de la version 15.0 d’Unicode qui propose des émojis inédits comme des maracas, une flûte, un Khanda, un peigne ou encore un éventail.

Les émojis se sont aujourd’hui imposés comme un moyen d’expression créatif à travers le monde. En tant qu’acteur historique du secteur de la création et membre du consortium Unicode, nous sommes conscients que les émojis permettent de promouvoir l’inclusion, de favoriser les discussions culturelles et d’avoir un impact positif sur notre santé mentale.”, explique Kamile Demir, computer scientist chez Adobe et représentante Adobe auprès de la sous-commission des émojis Unicode.

En France comme aux Etats-Unis, les émojis évoluent constamment et n’ont pas toujours le sens qu’on leur prête ; les émojis sont un incontournable de la culture du « dating » ; l’utilisation des émojis dans un contexte professionnel améliore l’efficacité, la créativité et les relations.

“Les émojis sont une forme de communication visuelle qui nous aide à exprimer nos sentiments et notre personnalité lorsque les mots nous manquent. Les nouveaux templates disponibles sur Adobe Express et la facilité de création d’émojis sur Photoshop et Illustrator permets aux créateurs à travers le monde d’exprimer leurs idées en outrepassant les différences culturelles et les barrières de la langue.”, explique Paul D. Hunt, typeface designer & font développer chez Adobe.

L’étude permet de comprendre quand, pourquoi et comment les émojis sont utilisés dans divers domaines : expression de soi et identité, diversité, équité et inclusion, couple et relations, communications professionnelles, etc. Cette forme de communication digitale, à la fois amusante, rapide et intuitive, a transformé la manière de s’exprimer et ne cesse de repousser les limites des conversations entre utilisateurs d’émojis, quels que soient leur âge, leur origine ethnique ou encore leurs cultures.

Les émojis préférés des utilisateurs français pour exprimer la joie, l’approbation, l’amour et la tristesse sont les suivants:

  • Les emojis 😂 (n° 1), 😘 (n° 2), 🤣 (n° 3), 😉 (n° 4), et 👍 (n° 5) sont les préférés des Français et 😢 (n° 1), 🤮 (n° 2) et 💩 (n° 3) les moins appréciés.
  • Les combinaisons 🤣 😂 (n° 1), 😘❤️ (n° 2) et 🤣😭 (n° 3) sont les préférées des Français.

Les émojis favorisent l’expression de soi, rendent les conversations plus amusantes et ont un impact positif sur la santé mentale :

  • 40 % des Français s’accordent à dire que l’utilisation d’émojis dans leurs communications a amélioré leur santé mentale (contre 60 % des Américains).
  • 98 % des Français confirment que les émojis leur permettent de s’exprimer plus facilement (contre 91 % des Américains).
  • 80 % des Français estiment que les personnes utilisant des émojis sont plus sympathiques et plus drôles que celles qui n’en utilisent pas (contre 73 % des Américains).

Les émojis favorisent l’empathie, la compréhension et le contact : 

  • 94 % des Français s’accordent à dire que les émojis permettent de passer outre la barrière de la langue (contre 92 % des Américains).
  • 88 % des Français comme des Américains indiquent qu’ils sont plus enclins à éprouver de l’empathie pour quelqu’un qui utilise des émojis.
  • 78% des Français reconnaissent que les émojis sont un outil de communication important pour favoriser l’unité, le respect et la compréhension mutuelle (contre 71 % des Américains).

Les utilisateurs plébiscitent des émojis toujours plus inclusifs et représentatifs :

  • 77 % des Français estiment que les émojis devraient continuer d’être plus inclusifs et représentatifs (contre 83 % des Américains).
  • 74 % des Français considèrent que les émojis inclusifs permettent de sensibiliser aux questions de diversité (contre 75 % des Américains).
  • 67 % des Français s’accordent sur le fait que les émojis inclusifs suscitent des discussions positives sur des questions culturelles et sociétales importantes (contre 71 % des Américains).

Les émojis changent sans cesse et n’ont pas toujours le sens qu’on leur prête

  • 🤠 (n° 1), 🍒 (n° 2) et 🙃 (n° 3) sont les émojis les moins bien compris en France et aux États-Unis.
  • 50 % des Français détournent le sens des emojis. Une tendance qui se perçoit également aux États-Unis puisque 48% des Américains détournent le sens premier des emojis.
  • Une tendance générationnelle, puisque 74 % des utilisateurs de la génération Z détournent le sens premier des emojis, contre 65 % de la génération Y, 48 % de la génération X et 24 % des baby-boomers.

Les émojis sont le nouveau langage de l’amour et peuvent créer ou rompre des relations :

  • Globalement, voici les trois émojis qui peuvent tout changer, lorsqu’il s’agit de faire des rencontres :
    • Les émojis 😘 (n° 1), 🥰 (n° 2) et 😍 (n° 3) rendent l’utilisateur plus sympathique.
    • Les émojis 💩 (n° 1), 😠 (n° 2) et 🍆 (n° 3) rendent l’utilisateur moins sympathique.
  • 2 utilisateurs de la génération Z sur 5 (38 %) n’envisagerait pas de relation sérieuse ou à long-terme avec une personne qui n’utilise pas d’émoji.
  • 69 % des Français utilisent des emojis lorsqu’ils veulent faire des rencontres (contre 72 % des Américains).

L’utilisation des émojis dans un contexte professionnel améliore l’efficacité, la créativité et les relations :

  • 74 % des Français (contre 71 % des Américains) disent utiliser des émojis dans le cadre professionnel, et 53 % des Français et des Américains indiquent en avoir utilisé davantage au cours des 12 derniers mois.
  • En 2022, l’utilisation des émojis dans un contexte professionnel permet de partager rapidement des idées (79 %), accélère la prise de décision en équipe (62 %) et réduit le besoin d’organiser des réunions et des appels (47 %).
  • 51 % des Français (versus 58 % des Américains) s’accordent à dire que l’utilisation des émojis au travail stimule leur créativité et 75 % des Français (versus 68 % des Américains) pensent qu’ils permettent de nouer de meilleures relations avec les nouvelles recrues.

L’utilisation des émojis va évoluer et se développer d’une toute autre manière dans le futur :

  • 50 % des Français (versus 57 % des Américains) sont prêts à acheter un article en utilisant un émoji, en particulier les membres de la génération Z (71 %), suivis de ceux de la génération Y (67 %).
  • Globalement, les trois principaux produits que les utilisateurs sont prêts à acheter via un émoji sont les repas à emporter (n° 1), les vêtements (n° 2) et les services de streaming (n° 3).
  • 72 % des Français (versus 68 % des Américains) sont prêts à utiliser les emojis pour confirmer leur présence à un événement et 37 % des Français (versus 45 % des Américains) pour envoyer ou recevoir des paiements.

Adobe Creative Cloud propose une offre exhaustive de solutions pour accompagner les créateurs dans chaque discipline : imagerie, photographie, design, vidéo ou encore expériences 3D et immersives faisant ainsi de la créativité pour tous une réalité. Des millions de créateurs à travers le monde s’appuient sur des solutions comme Adobe Express, Fonts, Photoshop ou encore Frame.io pour raconter leurs histoires au quotidien.

L’étude « Future of Creativity: 2022 U.S. Emoji Trend Report » est disponible en intégralité ici.

Le salon Educatec-Educatice devient EDUC@TECH Expo

Depuis plus de 25 ans, Educatec-Educatice s’est imposé comme le salon professionnel de référence pour débattre et construire collectivement le futur de l’éducation.
Chaque année, il réunit près de 12 000 professionnels autour d’un enjeu sociétal majeur : la transformation de l’école par le numérique et les nouvelles technologies.

Pour cette 26ème édition, le salon renouvelle ses promesses et affirme plus que jamais son identité en devenant EDUC@TECH Expo, le premier lieu de rencontrefrançais entre les acteurs de l’école et le monde de la tech.

Le salon EDUC@TECH expo 2022, c’est :

  • Des temps forts : conférences d’inspiration et grands débats mobilisant des grandes figures du numérique éducatif (ministre, cadres de l’éducation nationale, élus, chercheurs, CEO d’entreprises technologiques)
  • Un tiers-lieu à l’intérieur du salon : le « carrefour de l’innovation pédagogique », dans lequel des animations et ateliers interactifs permettent aux visiteurs de découvrir et de tester des innovations technologiques pour l’école
  • Une place de marché : stands où se rencontrent utilisateurs, acheteurs et pourvoyeurs d’innovations technologiques pour l’école, et où peuvent naître des projets
  • Des opportunités de rencontres informelles grâce à des temps et des espaces repensés

Pour cette 26ème édition, trois questions d’actualité seront au cœur du débat :

  • Comment l’école prépare les jeunes à vivre dans un monde numérique ?
  • Dans quelle mesure les innovations technologiques transforment-elles le

métier d’enseignant ?

  • Apprendre dans le métavers : jusqu’où ira le numérique éducatif ?

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La bibliothèque numérique YouScribe atteint le million d’abonnés en Afrique

En franchissant le cap du million d’abonnés en Afrique, la bibliothèque de poche YouScribe confirme la pertinence de son modèle de distribution numérique du livre et réaffirme son ambition d’ouvrir de nouveaux marchés. Avec un de ses partenaires historiques, Edi8, YouScribe confirme sa volonté de répandre partout le plaisir de la lecture et de l’accès à l’éducation.

YouScribe, l’Afrique comme axe stratégique

Lancée en 2011, YouScribe est aujourd’hui présent dans 11 pays d’Afrique (Tunisie, Sénégal, Cameroun, Côte D’ivoire, Burkina Faso, Maroc, Madagascar, Guinée, République Démocratique du Congo, Mali, Afrique du Sud), où la communauté des YouScribeurs vient de dépasser le million d’abonnés sur le continent africain. 

Une communauté principalement répartie en Afrique du Nord et de l’Ouest, où le Maroc, la Tunisie, le Sénégal, la Guinée et la Côte d’Ivoire représentent une part significative de ses abonnés. Jeunes – plus d’un sur deux (55 %) a moins de 34 ans – les YouScribeurs africains sont autant des femmes (49 %) que des hommes (51 %). 


Cette croissance solide et continue a permis de multiplier par 20 sa base d’abonnés en 
3 ans.

YouScribe, au service des éditeurs

YouScribe est né avec l’ambition d’accompagner les éditeurs dans la transmission de la langue, de la culture et des savoirs, en repensant grâce au numérique la distribution de leurs catalogues. Si les nouvelles technologies et notamment le smartphone (86 % des lecteurs africains lisent sur téléphone) sont l’occasion pour les éditeurs de développer de nouveaux marchés, elles permettent aussi de garantir de meilleures conditions de rémunération pour les auteurs. YouScribe reverse donc 60 % de ses revenus à ses 1 900 éditeurs dont plusieurs centaines sont basés en Afrique. 

Le lectorat africain de YouScribe montre un intérêt particulier pour la littérature africaine et les ouvrages en langues locales très peu accessibles sur le marché. YouScribe fait du développement et de l’accessibilité d’un catalogue africain une réelle priorité. 

La bibliothèque compte parmi ses partenaires historiques Edi8, entité du groupe Editis (Vivendi). En 2022, Edi8 a affirmé sa volonté de se développer sur le continent en fondant une première filiale installée en Côte d’Ivoire, Nimba Editions qui a pour vocation de proposer une offre éditoriale africaine locale, pertinente et diversifiée. Une deuxième filiale a été lancée en 2022 au Sénégal portant la même ambition.

YouScribe, un modèle de développement performant

Au-delà de son lien étroit avec les éditeurs, le succès de YouScribe dans le micro-paiement via les opérateurs télécoms permet de proposer ses services au juste prix et avec un mode de paiement adapté aux réalités du continent.

Ainsi, la société compte parmi ses partenaires Digital Virgo, le spécialiste mondial du paiement mobile et du marketing digital via des solutions de facturation des opérateurs télécoms. Dans chaque pays où YouScribe s’installe, il s’associe avec des éditeurs locaux, un opérateur de télévision (Canal + est présent dans 24 pays d’Afrique avec une forte croissance) ou des opérateurs télécoms. YouScribe est ainsi partenaire d’Orange, de Maroc Télécom, d’Ooredoo, de Moov ou encore d’Inwi. Orange est un allié privilégié en s’impliquant depuis 2018 dans le développement de la bibliothèque dans 7 pays africains.

Plus d’informations sur  www.youscribe.com/