11e édition du concours vidéo
« Santé et sécurité au travail : de l’école au travail »

L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) lance sa 11eédition du concours vidéo « Santé et sécurité au travail : de l’école au travail », destiné aux apprentis et élèves des lycées professionnels. Depuis 11 ans, ce concours vidéo est organisé par l’INRS en partenariat avec la MSA sous le parrainage du ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse et du ministère de l’Agriculture et de la souveraineté alimentaire.

Si les jeunes n’ont pas toujours conscience des risques encourus dans le cadre professionnel, ce sont les premiers concernés par les accidents du travail. Pour les sensibiliser à ce sujet, l’INRS organise la 11e édition du concours vidéo « Santé et sécurité au travail : de l’école au travail » destiné aux élèves et apprentis qui préparent un diplôme professionnel de l’Education nationale et de l’Enseignement agricole dans un établissement d’enseignement secondaire public ou privé, en France métropolitaine et outre-mer.

D’une durée de 30 secondes à 2 minutes 15 secondes maximum(générique compris), ces vidéos devront illustrer des démarches et des solutions de prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.

Les précédentes éditions ont montré que la participation à ce concours constituait un projet pédagogique très mobilisateur pour développer les compétences des jeunes salariés en matière de santé et sécurité au travail. Depuis 11 ans, ce concours suscite un intérêt croissant avec plus de 900 établissements scolaires qui ont participé à cette opération de sensibilisation.

Les vidéos seront jugées par un jury composé de représentants de l’INRS, du ministère de l’Education nationale et de la Jeunesse et du ministère de l’Agriculture et de la souveraineté alimentaire, de la MSA, de Caisses d’assurance retraite et de la santé au travail (Carsat/Cramif) et d’experts. Le jury privilégiera les réalisations qui illustreront des démarches et solutions de prévention primaire en entreprise (suppression ou réduction des risques professionnels).

Les équipes lauréates seront invitées à la cérémonie de remise des prix qui se tiendra au siège de l’INRS à Paris le 26 mai 2023.

Pour en savoir plus :

–         Toutes les informations et les modalités de participation sont disponibles sur le site : https://www.inrs.fr/concoursvideo2023

–         Retrouvez la page Facebook du concours vidéo et l’ensemble des films primés sur la chaîne YouTube de l’INRS.

CGénial : Découvrir les formations et métiers des domaines scientifiques, techniques et du numérique.

La Fondation CGénial propose, du 12 au 16 décembre aux élèves du secondaire, une semaine de rencontres en ligne avec des professionnels des domaines scientifiques, techniques et du numérique. Chaque rencontre virtuelle permet aux élèves de découvrir une palette de formations et de métiers variés pour les aider dans leur orientation.

Le tout à travers le témoignage de 35 femmes et hommes travaillant dans des domaines scientifiques, techniques et du numérique d’au moins 16 entreprises différentes (Amazon, Arkema, CNES, EDF, Google Education, Safran, Saint-Gobain, Schlumberger, STMicroelectronics, Technip…). 

Nouveauté. Alors que la première édition de la « Semaine des Métiers » était destinée aux classes, cette année les élèves de la 4ème à la terminale, seuls ou accompagnés de leur enseignant/parent/tuteur quelle que soit leur localisation géographique (métropole, territoires et départements d’outre-mer, établissements français de l’étranger) peuvent s’inscrire individuellement. Et bien sûr, les enseignants accompagnés de leur classe sont toujours largement conviés à s’inscrire. 

La participation est gratuite et l’inscription doit se faire avant le 8 décembre.

PROGRAMME  Plusieurs temps rythment la semaine :

  • Découverte de formations scientifiques et techniques
    • BTS ou BUT : quelle formation courte choisir ?
    • Me former en alternance, comment ça se passe ?
    • Me former en école d’ingénieurs : comment ça se passe ?
    • Me former à l’université : comment ça se passe ?
  • Découverte de secteurs d’activité scientifiques et techniques / Rencontre avec des pros de :
    • la réduction des émissions de CO2
    • l’intelligence artificielle
    • la métallurgie
    • des énergies renouvelables
    • l’aéronautique de demain
    • l’industrie du textile
    • la chimie
    • Comment fonctionne un GPS ?
  • Rencontres ludiques avec des pros : jouez et devinez leur métier !
  • Mercredis géniaux : à quoi ressemble un métier dans la recherche ?
  • Une table ronde sur les femmes dans le numérique 
    • Filles dans le numérique : stop aux clichés
  • Une discussion sur le stage de découverte métier et ce qui est attendu.

La première édition de la « Semaine des Métiers » a cumulé 13 000 participants.

Plus d’infos sur la semaine des métiers de CGENIAL

Frosoo, une montre intelligente pour les tout-petits

La maîtrise de la chronologie est essentielle pour apprendre à lire et à calculer : elle permet de comprendre la suite logique de l’énoncé d’un problème et d’assimiler la construction temporelle d’un texte. 

C’est pour aider les petits à se repérer dans la journée, dès la maternelle, que PAM TIM France a créé la montre à combinaison de pictogrammes. Le groupe continue à innover avec Frosoo, sa nouvelle montre interactive connectée via Bluetooth : alliée à une application, elle permet de programmer chaque montre pour l’adapter à la vie de chaque enfant.

La montre Frosoo reprend le concept d’affichage du temps par pictogrammes mis au point par PAM TIM France, qui permet aux tout-petits de savoir quel est le moment de la journée, quelle activité ils doivent réaliser, et combien de temps il leur reste pour la faire. Elle innove de deux façons. 

Tout d’abord, elle a un nouveau design moderne, qui évoque les montres intelligentes pour adultes. 

Ensuite, elle intègre le système Bluetooth, un module communicant de très faible puissance qui est inoffensif pour les enfants. 

Une montre encore plus pratique

Grâce au Bluetooth, les parents pourront programmer la montre de leur enfant comme ils le souhaitent pour l’adapter précisément à leur vie de famille, grâce à une application mobile mise au point par les équipes de développement de PAM TIM France. 

La montre Frosoo a comme avantage principal de favoriser un apprentissage précoce de la chronologie grâce à ses pictogrammes. 

Des pictogrammes pour apprendre le temps simplement

PAM TIM France a mis au point une méthode d’apprentissage du temps logique et intuitive, que l’on retrouve sur sa montre Frosoo. 

Elle permet aux petits d’apprendre la chronologie de la journée dès la maternelle grâce à la combinaison de trois types de pictogrammes : 

  • Les pictogrammes Temps. Ils prennent la forme de lunes et de soleils. Par exemple, le soleil qui a tous ses rayons indique qu’il est midi, et le soleil entremêlé avec la lune symbolise la soirée.
  • Les pictogrammes Activité. Des images stylisées représentent les différentes activités qui rythment la vie des tout-petits : petit-déjeuner, brossage de temps, douche, repas, sieste, école, goûter, récréation et activités d’éveil.
  • Les pictogrammes Décompte du temps. Ils ont une double utilité : ils permettent aux petits de savoir où ils en sont dans leur activité et les initient au principe des fractions.

plus d’infos sur Frosoo

High-tech, Low-tech et agricultures : le numérique au service de la durabilité

Organisés par l’ESA et la Chaire Mutations Agricoles, Les rdv de l’agriculture connectée – #esaconnect – analysent la façon dont le numérique accompagne les mutations des mondes agricoles. Alors que la durabilité de nos systèmes agricoles et alimentaire s’impose comme un enjeu de premier plan, cette 6ème édition interrogera la façon dont les technologies numériques y contribuent.

Chercheurs, experts et praticiens seront invités à questionner les promesses de la tech :
A l’échelle des exploitations, comment articuler et améliorer des performances multiples (environnementales, économiques, productives, sociales) ? quels sont les apports effectifs de l’AgTech, ses développements, quels acteurs s’en saisissent et comment ?
Alors que l’empreinte environnementale du numérique s’accroit dans nos sociétés, quelle place donner aux technologies numériques parmi les différentes voies vers des systèmes agricoles et alimentaires durables ?
A l’échelle des systèmes alimentaires, le numérique transforme les modalités d’information des consommateurs aux producteurs. comment les scores environnementaux modifient les conduites de l’amont à l’aval des filières ? quels sont leurs effets sur la gouvernance des systèmes alimentaires ?

A l’affiche !
Guillaume Pitron, auteur de l’Enfer Numérique, et Pierre Paperon, Président de France Méta, sur les perspectives du métaverse pour l’agriculture, pour une double conférence-débat « Quels avenirs numériques, pour quelle durabilité ? »

Rendez-vous le Mercredi 23 novembre 2022
au Centre des Congrès d’Angers
Inscription gratuite et obligatoire ici

Les kits Little io, une expérience culturelle interactive autour des mythes et de l’art

Little io présente son nouveau kit numérique culturel pour les enfants de 6 à 13 ans. Dédié au mythe de Prométhée, créateur de l’humanité et voleur du feu sacré de l’Olympe, il invite les enfants à découvrir ce récit fondateur, à la maison et en famille.

Fondatrice de Little io et ancienne directrice des éditions Diane de Selliers, Joséphine Barbereau est historienne de l’art. Depuis 2014, elle développe pour les écoles et les institutions culturelles des ateliers ludiques autour des grands héros mythologiques et de l’histoire de l’art. Forte de sa connaissance précise des mythes et de leur portée symbolique, elle aide les enfants à se construire un socle culturel solide tout en s’amusant avec leurs parents autour de contenus qui plaisent à toute la famille. 

La culture clé en main

Little io, c’est une approche pédagogique innovante qui présente les récits fondateurs éclairés par tous les arts : la mascotte Little io raconte les aventures de héros célèbres comme Ulysse, Hercule ou Cléopâtre.  Elle vous guide à la découverte de peintures, de sculptures, d’extraits d’opéras, de ballets…  Des clés de compréhension ponctuent le récit, ainsi que des jeux qui favorisent l’expression libre et un joyeux dialogue entre enfant et adulte.

Que trouve-t-on dans un kit ? 

UNE PLATEFORME EDUCATIVE ET INTERACTIVE propose des contenus ludiques sur la mythologie et l’histoire de l’art :

• l’histoire de Prométhée, contée et illustrée par des œuvres d’art. 

• des œuvres d’art, décryptées pas à pas dans des capsules vidéo. Ces chefs-d’œuvre éclairent toutes les facettes du mythe et sa portée symbolique. 

• des jeux interactifs autour de l’art et des mythes. Ils aident l’enfant à s’approprier la connaissance. 

UN LIVRET à imprimer et à compléter. Grâce à des jeux d’expression et des espaces de créativité, l’enfant laisse libre cours à son imagination et trouve des résonnances du mythe dans sa vie quotidienne.

Le plaisir de découvrir et de comprendre, ensemble 

Ce kit apprendra aux enfants qu’en offrant le feu sacré aux hommes, Prométhée ouvre leur esprit aux arts, aux sciences et à la connaissance. Passeur de lumière, il transmet l’étincelle du savoir et la soif de progrès. Avec Little io, les enfants comprennent que la connaissance, comme le feu, est un cadeau qui se transmet et s’entretient. Autour des kits Little io, enfants et adultes partagent un moment complice en famille et découvrent avec plaisir les milles et une facettes du mythe, qui devient un référent commun porteur de valeurs et de sens.

 « Little io nourrit l’imaginaire des enfants, les aide à se constituer des « racines » pour mieux appréhender le monde, à la lumière des mythes qui fondent nos cultures et éclairent nos vies », explique Joséphine Barbereau. “Avec ces kits, l’ambition est de rendre la culture, l’art et la connaissance accessibles à tous, dès le plus jeune âge”.  

Prix de lancement : 19€ TTC avec le code « FEU! » jusqu’au 15 octobre. Prix définitif : 25€ TTC. Disponible sur : www.littleio.com

Juice, l’IA amie qui raconte les actualités en audio

Dotée d’une IA puissante pour trier et donner du sens aux contenus, Juice sait raconter les actualités à haute voix. Personnalisée, interactive et disponible sur iOS et Android, l’application gratuite Juice permet de profiter différemment et en audio de toute la richesse des contenus disponibles sur le web, que ce soit la presse écrite, les podcasts, la musique ou même les tweets. Avant d’être une expérience sans équivalent, l’instagram de l’info en audio est une prouesse technologique reposant sur les dernières avancées en matière de traitement du langage naturel et d’intelligence artificielle.

Alors qu’il s’apprête à franchir la barre des 1 000 sources soit près de 40 000 articles traités tous les jours en français, Juice propose une expérience auditive sans pareille où se mélangent les voix humaines et les voix virtuelles sans que, bien souvent, on ne sache les distinguer. Du Monde à Valeurs Actuelles, de France Inter aux tweets de personnalités, Juice propose une playlist unique permettant d’écouter les actualités sur tous les sujets ponctuées de flux musicaux et de services utiles. Grâce à sa maîtrise du traitement automatique du langage naturel (Natural Language Processing) Juice sait proposer une expérience auditive pleine de richesse, de diversité et réunir   en une expérience unique les médias écrits et les médias audios. . 

Comment cultiver un jardin de l’information, à la française ?

L’IA collecte d’abord toutes les informations provenant des vastes sources disponibles sur l’Internet (presse quotidienne, médias en ligne, magazines, podcasts radio ou podcasts natifs, réseaux sociaux..). Le moteur de news a d’abord dû lire des milliers d’articles et autres contenus d’archives afin de s’entraîner, créer son propre vocabulaire, ses propres espaces d’embeddings et modèles de classifications. Ainsi, ce moteur peut alors traiter automatiquement les informations qui sont classées, dédoublonnées, notées. Ensuite, il sélectionne automatiquement le média qui offre la meilleure couverture d’un sujet, supprime les articles au contenu trop pauvres en information (pièges à clics). 

Dans sa mission de cultiver autrement, l’application veille à ce que l’utilisateur reçoive une variété de sujets non seulement dans leur diversité, mais aussi en termes de diversité de sources. Qu’il s’agisse de la presse écrite, de la radio ou de Twitter ; qu’il s’agisse de la gauche, du centre ou de la droite, voire des extrêmes, le vaste monde de l’information est désormais en route vers les oreilles. Les sources sont toutefois sélectionnées manuellement par la rédaction de Juice qui veille non seulement à la pluralité mais aussi au sérieux et/ou à la légitimité des sources qui sont proposées. 

Toutefois, la personnalisation reste un élément fondamental de la philosophie de Juice. Les utilisateurs peuvent sauter, voire éliminer complètement les sujets ou les sources qui ne les intéressent pas. Pour sa part, l’IA réduit progressivement les sujets répétitivement ignorés ou zappés même si l’utilisateur ne modifie pas les paramètres natifs disponibles sur l’application.

Faire gazouiller la presse grâce à la magie du traitement automatique du langage naturelle (NLP)

Le défi ne se résume pas au filtrage et au tri de contenus, il faut aussi réaliser la prouesse de transformer des contenus écrits en mélodies agréables à écouter : Comment rendre Twitter audible ?

Juice repose sur une interprétation unique du traitement automatique du langage naturel (NLP) afin de faire passer les contenus contextuels de l’écrit à l’audio. L’IA arrive ainsi à trouver les formulations agréables à l’oreille de l’homme. En parvenant à retranscrire les emojis Twitter à l’audio, Juice a réalisé une prouesse technologique et artistique majeure. Les algorithmes uniques que Juice a développés permettent de s’assurer que les informations écrites pourront être intelligibles une fois entendues. Ce qui est pertinent par écrit ne l’est pas forcément à l’oreille. L’IA s’assure que les informations sont prononcées de la manière la plus correcte malgré l’apparition de mots sans cesse nouveaux liés à l’actualité. Elle assure la transformation du langage visuel spécifique des réseaux sociaux (emojis, hashtags) en éléments sonores (emojis sonores notamment). 

Juice donne ses lettres de noblesse à la synthèse vocale. Ses “Journalistes Virtuels” loin d’être des robots, sont de véritables personnages, chacun ayant son propre ton, son propre caractère. L’équipe possède le savoir-faire nécessaire pour créer des voix de synthèse de bout en bout, et l’utilisation des modèles de Deep Learning s’appuyant sur les derniers mécanismes d’attention (et en progrès constant) permettent à Juice de bénéficier de l’état de l’art des voix de synthèse en terme de qualité et d’humanité. S’autorisant une certaine dérision et un ton humain, Juice se singularise par son style et une certaine forme d’humour. Le “ton” Juiceest facilement reconnaissable. Juice veille à ce que l’expérience ne devienne pas monotone ou prévisible. La richesse de cette expérience fait l’objet d’un travail et d’une amélioration constante, intégrant davantage de personnages et de variétés de voix. 

Pour rafi Haladjian, cofondateur de Juice : « La personnalisation au cœur de Juice constitue un excellent exemple du potentiel de l’IA pour s’humaniser. Grâce aux diverses « voix » de Juice et aux informations contextuelles, pertinentes et agréables, chacun peut mieux se cultiver à tout moment sans redondance. »

Téléchargement gratuit

Disponible sur l’AppStore et le PlayStore

ou via le site web Juice.tech

L’Arcep et l’Arcom intensifient leur collaboration en matière d’impact environnemental du numérique

Les collèges pléniers de l’Arcep et de l’Arcom se sont réunis ce lundi 26 septembre. Cette rencontre a permis de faire un point sur les travaux communs des deux autorités portant sur l’empreinte environnementale du numérique, une priorité pour le « pôle numérique Arcep – Arcom ». Elle a aussi été l’occasion d’aborder plusieurs sujets d’intérêt commun comme l’évolution du secteur audiovisuel et de la régulation des plateformes numériques.

Enjeux environnementaux du numérique : de nombreux travaux menés conjointement par les deux institutions, en collaboration avec l’ADEME 

Ces travaux font notamment suite aux missions confiées par le législateur dans le cadre des dispositions législatives récentes adoptées au 2nd semestre 2021 (loi « climat et résilience » et loi visant à réduire l’empreinte environnementale du numérique en France). Ils visent à :

  • disposer d’une vision plus précise de l’impact environnemental des différents modes de diffusion des services de médias audiovisuels ;
  • définir le contenu d’un référentiel général d’écoconception des services numériques ;
  • publier une recommandation quant à l’information des consommateurs par les services de télévision, les services de médias audiovisuels à la demande et les services de plateforme de partage de vidéos.

Evolution des usages numériques : le référentiel Arcep-Arcom des usages numériques s’enrichit et l’Arcom rejoint l’Arcep dans l’élaboration du baromètre du numérique 

Les deux institutions ont poursuivi leurs travaux d’enrichissement de leur référentiel des usages numériques, avec la publication de la deuxième édition, en mars 2022. L’objectif du référentiel est d’agréger des données issues de différentes sources établies et de fournir des éléments chiffrés et centralisés sur les déploiements des réseaux fixes, la couverture des réseaux mobiles, l’accès à internet, l’équipement des foyers, les usages internet et audiovisuel. Cette deuxième édition du référentiel intègre de nouvelles thématiques, telles que la durée de détention des smartphones et leur impact environnemental, ou encore l’utilisation des outils de contrôle parental sur internet.

L’Arcep et l’Arcom renforcent également leur collaboration sur le baromètre du numérique. L’ancienneté et la régularité de cette enquête, pilotée par l’Arcep, le CGE et l’ANCT depuis 2000, font du baromètre du numérique une étude de référence. Elle a pour objectifs :

  • de favoriser l’appropriation du numérique par tous ;
  • de mesurer l’adoption par les Français des équipements et étudier les pratiques numériques ;
  • de détecter les inégalités d’accès et de compétences, qu’elles soient volontaires ou subies ;
  • de permettre à la puissance publique d’anticiper les grandes tendances. 

La prochaine édition du baromètre du numérique sera publiée début 2023.

Des travaux des deux institutions sur la régulation des plateformes numériques

Le collège commun de ce jour a été l’occasion de poursuivre les échanges sur les évolutions des secteurs du numérique et de l’audiovisuel et de présenter les différents travaux relatifs aux règlements sur les services numériques (DSA) et sur les marchés numériques (DMA) au niveau national et européen (BEREC et ERGA), menés par l’Arcep et l’Arcom au cours de l’année. Les deux institutions ont par ailleurs organisé au cours de l’année un atelier de partage d’expérience sur la régulation des plateformes numériques. Les travaux en cours des deux institutions avec le Pôle d’Expertise de la Régulation Numérique (PEReN) a également fait l’objet d’échanges

Source : ARCEP

Sortants du supérieur : des parcours d’insertion dominés par l’emploi

Près de 6 sortants sur 10 du système éducatif en 2017 sont issus de l’enseignement supérieur et près d’un sur deux en est diplômé. La dernière enquête Génération du Céreq, interrogeant en 2020, des jeunes sortis en 2017, montre que l’avantage du diplôme supérieur pour accéder à l’emploi s’observe tout au long de leurs trois premières années de vie active. Leur début de carrière est d’autant plus favorable que leur niveau d’études est élevé. Spécialités industrielles vs tertiaires, apprentissage vs voie scolaire, femmes vs hommes…les auteures révèlent toutefois les caractéristiques des formations et des individus qui influent aussi sur les parcours professionnels.

#1 – Panorama des sortants du supérieur

  • Les non-diplômés (22 %), les BTS (14 %) et les Masters (21%) rassemblent un peu plus de la moitié des sortants du supérieur.
  • A l’inverse, les DUT (2%) et les licences générales (7 %) en représentent désormais moins de 10 %. 
  • L’alternance continue son essor dans le supérieur avec un jeune sur cinq qui en est issu. Cela concerne notamment les formations professionnelles (50 % des licences professionnelles et 29 % des BTS). 
  • Si les femmes représentent 55 % des sortants du supérieur, elles restent minoritaires dans les formations industrielles et d’ingénieur.
  • Enfin l’enseignement privé rassemble 27 % des sortants du supérieur avec de très fortes disparités : 42 % des BTS mais seulement 13 % des Masters.

#2 – Des parcours dominés par l’emploi pour trois quarts des sortants du supérieur 

  • Deux trajectoires d’accès à l’EDI (rapide ou différé) prévalent largement pour les diplômés d’école d’ingénieur (80 %), d’école de commerce (75 %) ou encore de licence professionnelle industrielle (74 %).
  • Les diplômés de la santé et du social sont nombreux à suivre un parcours caractérisé par un enchaînement d’emploi à durée déterminée tout comme les diplômés des spécialités tertiaires de l’université.
  • Les sortants non diplômés du supérieur, les titulaires d’une licence générale ou encore les BTS tertiaires sont très présents dans les parcours d’accès tardif à l’emploi, de sortie vers le chômage ou l’inactivité, ou de maintien aux marges de l’emploi. Ces trois trajectoires rassemblent un peu plus de 20 % des sortants du supérieur. 

#3 – Mais la hiérarchie des diplômes n’explique pas tout 

  • La différenciation la plus criante se situe au niveau licence. Si pour les diplômés de licence professionnelle les trajectoires sont particulièrement favorables, celles des détenteurs de licence générale sont plus proches de celles rencontrées par les sortants non diplômés.
  • Si 70 % des ingénieurs hommes accèdent immédiatement à l’emploi stable, cette proportion tombe à 54 % pour les femmes.
  • L’apprentissage favorise aussi les parcours les plus favorables : c’est le cas pour 57 % des sortants par alternance d’une licence professionnelle tertiaire contre 28 % pour la voie scolaire.

Les auteures soulignent qu’hormis le choc initial, l’effet de la crise sanitaire sur l’accès à l’emploi est resté relativement contenu jusqu’à la fin de l’année 2020, du fait des nombreuses mesures de compensation déployées par l’État. En revanche, elles notent une dégradation des conditions de travail pour 42% d’entre eux, qui persiste six mois après le premier confinement pour la moitié de ces derniersElles soulignent aussi que pour un sortant sur quatre de l’enseignement supérieur, trois ans ne suffisent pas à déterminer le sens de leur trajectoire d’insertion. Leur réinterrogation en 2023 permettra d’affiner ces premiers constats.

Sortants du supérieur : le niveau de diplôme ne résume pas les trajectoires d’insertion

Fanette Merlin, Emmelie – Louise Wierup

Céreq Bref n°426, 2022, 4p.

EPITA : une rentrée sous le signe d’une double ambition

Depuis sa création en 1984, l’EPITA est reconnue pour la qualité de sa formation d’ingénieur en Computer Science. À toutes celles et ceux qui souhaitent bénéficier de l’excellence de sa réputation, l’École propose désormais des formations adaptées à chaque profil pour répondre aux besoins de talents dans de nombreux marchés en tension.

En 2014 l’école a ainsi créé son pôle de formation continue, et lancé son propre centre d’apprentissage en cycle Ingénieur comme en formation d’Experts. Elle a ensuite ouvert en 2021 un Bachelor Cybersécurité, habilité Grade de Licence et installé au cœur du Campus Cyber. L’EPITA est le seul établissement d’enseignement supérieur membre fondateur de ce Campus, et dispose d’une surface de locaux permettant d’accueillir en permanence plus de 90 étudiants, en formation initiale comme en Executive Education. La rentrée 2022 voit également le lancement de IA Institut by EPITA & ISG qui propose une formation post bac dédiée à l’Intelligence Artificielle dans toutes ses dimensions, économiques, technologiques, juridiques et éthiques. L’EPITA propose enfin trois diplômes MSc de 18 mois, dans un environnement international pour les étudiants français et étrangers. 

Le cycle Ingénieur s’étoffe de son côté de 4 nouvelles Majeures. Ces spécialisations de haut niveau, effectuées lors des deux dernières années, s’étendent avec : “Sécurité et Sureté de l’Intelligence Embarquée (Toulouse), “Industrie 4.0” (Lyon), “Intelligence Artificielle et Graphes” (Lyon), et “Quantum Computing” (Paris). Chacune est le fruit d’un partenariat avec les meilleurs industriels du secteur et des régions, et anticipe les besoins en talent des industries concernées. La Majeure « Quantum Computing » avec 2 semestres de cours suivis d’un semestre de stages, est la première Majeure d’une grande Ecole d’Ingénieurs à proposer un tel volume d’enseignement et de projets dans la durée. Elle marque la volonté de l’EPITA d’explorer les nouvelles frontières de la Tech. 

4 nouvelles Mineures ont également été créées : Intelligence Stratégique (EPIIS) en partenariat avec l’École de Guerre Economique), Logiciel libre (EPILI), Géopolitique de l’internet (EPIEGEO) et Management en situation extrême (MASE). 

L’École prépare enfin pour septembre 2023 un Bachelor Crypto+Finance en partenariat avec l’ISG pour former les futurs professionnels de la finance décentralisée et de l’économie tokenisée. Combinant les fondamentaux de la finance de marché, les technologies de Blockchain publique comme privée (cryptoactifs, NFT, traçabilité et gestion de l’impact) et les enjeux juridiques associés, ce Bachelor permettra à ses étudiants de devenir des acteurs autonomes, engagés, responsables, et agiles de cette composante économique indispensable du web3. 

L’EPITA au plus près des futurs ingénieurs de France 

Dès 2017, l’EPITA s’est implantée dans les métropoles de Lyon, Rennes, Strasbourg et Toulouse, qui sont à la fois des villes attractives pour les étudiants et des bassins d’emplois dynamiques pour les diplômés.  L’Ecole y déploie de manière synchrone son infrastructure pédagogique de sorte à garantir l’unicité et la valeur de son diplôme quel que soit le ou les campus fréquentés par les étudiants. 

Le déploiement du cycle Ingénieur en régions, via notamment les nouvelles Majeures, souligne la volonté d’ouverture de l’Ecole tout en participant à la mise en réseau des sites de l’Ecole à travers la vie étudiante comme la recherche ou encore les “piscines”. 

À l’occasion de ses 12 amphis de rentrée, Philippe DEWOST, Directeur Général de l’EPITA a précisé aux étudiants comme au corps enseignant que « cette double démarche d’ouverture et de conquête de nouveaux territoires est engagée dans le plein respect de l’ADN de l’EPITA, qui combine de manière unique la recherche de l’excellence, la pratique de l’agilité, et la culture de l’impertinence. Ces trois traits de caractère, qui permettent à l’École de définir le terrain sur lequel elle évolue, sont indissociables les uns des autres et s’en nourrissent. C’est grâce à elles, que l’EPITA peut se permettre d’évoluer tout en cultivant sa différence. Et c’est grâce à l’intensité du travail et de l’engagement de nos étudiantes et de nos étudiants qu’elle. »

plus d’infos : https://www.epita.fr

Crédits photos ©epita.fr

Lancement officiel des concours « Je filme le métier qui me plait » et « Je filme ma formation », le 27 septembre 2022

« Je filme le métier qui me plait » et « Je filme ma formation » sont des concours qui placent les jeunes en découverte active des métiers de la formation à travers la création vidéo. Les participants doivent réaliser des films de trois minutes maximum qui mettent en lumière un métier qui les intéresse pour « Je filme le métier qui me plait », ou leur formation et leur établissement pour « Je filme ma formation ».

Les inscriptions seront ouvertes le 27 septembre 2022 ; la participation est gratuite. La remise des prix officielle aura lieu lors d’une grande cérémonie au Grand Rex, le 23 mars 2023 pour « Je filme ma formation » et le 25 mai 2023 pour « Je filme le métier qui me plait ».

Des vidéos qui aident les jeunes à trouver leur voie

Les deux concours sont l’occasion pour les jeunes d’exercer leur créativité, d’acquérir des compétences de production vidéo (écriture du scénario, préparation, tournage, montage, etc.), tout en vivant une expérience inoubliable.

“Notre mission est d’aider tous les jeunes à trouver leur voie, grâce à des médias d’info-divertissement sur les métiers et les formations, et en particulier dans les domaines qui recrutent” explique Éric Fournier, le co-fondateur des concours.

Pour les entreprises et les établissements, les films réalisés sont de formidables ambassadeurs : ils sont largement diffusés. En 2022, ils ont totalisé plus d’un million de vues en deux mois seulement.

7ème édition de « Je filme ma formation »

Avec « Je filme ma formation », les participants deviennent ambassadeurs de leurs formations qui proposent des débouchés. Ils doivent réaliser une vidéo de 3 minutes sur une formation afin de la faire connaitre à d’autres jeunes, dans un cadre pédagogique. Les débouchés de la formation présentée doivent être présentés. Les candidats doivent s’inscrire dans une ou plusieurs thématiques sectorielles présidées par des partenaires : hôtellerie restauration, BTP, transport logistique, industrie, campus des métiers et des qualifications…

Le concours est ouvert aux jeunes du lycée (Pro), aux étudiants du supérieur (bac+1, BTS, BUT, licence, master, doctorat, grandes écoles), aux alternants, mais aussi aux moins jeunes en insertion et en formation, aux Greta,à l’AFPA, aux adultes en formation continue.

Comme chaque année, le concours sera présidé par une personnalité emblématique des médias. Il s’agira cette année à nouveau de l’animateur Guillaume Pley.

Les dates importantes

  • Date de clôture des candidatures : 17 janvier 2023
  • Date limite d’envoi des vidéos : 10 février 2023
  • Cérémonie officielle de remise des prix : 23 mars 2023